Avec une nouvelle déléguée générale à sa tête depuis juin 2020, l’association Entreprendre au féminin Bretagne s’est adaptée à la crise avec agilité et joue à plein son rôle de réseau des femmes qui entreprennent.
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500 adhérentes comptent sur Entreprendre au féminin Bretagne qui se doit de garder le cap dans la tempête. Et l’association peut s’appuyer sur ses 12 salariées – entrepreneures également – et sur la nouvelle déléguée générale Corinne Le Dérout. Cette dernière était déjà membre du réseau, et même formatrice, et après plusieurs années dans l’économie sociale et solidaire, c’est assez naturellement qu’elle s’est emparée son nouveau poste en juin 2020. L’association avait alors fait face au premier confinement en adaptant toutes ses formations en ligne. Cette agilité était particulièrement importante pour la formation phare d’Entreprendre au féminin, la formation Émergence.
Formations en ligne et accueil des nouvelles porteuses de projet
Cette formation, tout à fait originale, dure 11 jours (répartis sur plusieurs semaines) et est accessible à toutes les femmes, quel que soit leur statut ou leur projet, avec des financements possibles pour les demandeuses d’emploi. Cette formation s’est poursuivie à distance pour des groupes plus réduits pendant les périodes de confinement. Si vous souhaitez la suivre, prenez rendez-vous avec une chargée de mission d’Entreprendre au féminin ; les entretiens individuels continuent eux aussi !
Enquête auprès des actuelles ou futures entrepreneures et mentoring
Par ailleurs, l’association lance une enquête auprès de toutes porteuses de projet ou entrepreneuse bretonne – adhérente ou non à l’association – pour connaître les attentes spécifique et les besoins en cette période de crise sanitaire.
Si des entrepreneures confirmées souhaitent accompagner des porteuses de projet, l’association recherche aussi des marraines (d’une expérience de 3 ans minimum) pour son programme continuel de mentoring.
Le réseau propose également des ateliers spécifiques et conférences thématiques (en ligne en période de confinement), des temps d’échanges conviviaux (cafés-discussions) ou des participations à des salons.